Marie-Hélène Tourenne est formatrice. Elle a concentré ses activités autour de l’enseignement de Kolaimni et précise : “Tout le monde peut apprendre et être facilement efficace en un seul weekend, nous en avons tous la capacité innée”.
Du Cap-Ferret aux Etats-Unis
Depuis quelques années, Marie-Hélène, 66 ans, est revenue au pays, au Bassin d’Arcachon, sur la presqu’île du Cap-Ferret où elle est née et où elle a grandi. Ella a trois enfants et précise qu’elle a un fils trisomique : “Parent atypique à 23 ans, j’ai découvert très tôt les richesses cachées de l’humanité et compris que normalité et majorité ne sont pas synonymes. Mariée à un physicien depuis 46 ans, je suis fascinée par le miracle constant de l’univers. Fille d’un père ostréiculteur et d’une mère tisserande, j’aime la nature, la mer, les métiers d’art et d’artisanat et tout ce qui exprime le chant du cœur des humains”.
Ancrée au Cap-Ferret, elle retourne quelques mois par an aux Etats-Unis où elle a vécu 37 ans car son mari y était en poste, et deux de ses enfants y résident encore, ainsi que sa petite fille “Bien avant que le Cap-Ferret ne devienne un lieu de vacances très tendance et à juste titre très recherché, la région était déjà réputée pour son bon air et plusieurs sanatoriums y ont vu le jour. Nous y sommes revenus, fuyant ainsi les rudes hivers de l’Iowa”.
Un long parcours de recherche du mieux-être
Marie-Hélène se souvient : “A l’âge de vingt ans j’ai commencé à pratiquer la méditation transcendantale. La familiarité avec l’état d’Etre qui s’est développée au cours des années m’a préparée à recevoir à bras ouverts cette connexion avec la Lumière Universelle, première manifestation de l’Absolu, et son utilisation par une technique simple, précise et systématique, praticable à distance. C’est une autre approche, un autre but, une autre technique qui touche à la même réalité ultime, une réalité quantique qui me convient bien”.
Marie-Hélène a été formée à Kolaimni (technique énergétique de mieux-être) en 1996 par Mechi Garza, une amérindienne rencontrée quand elle habitait aux Etats-Unis. Elle ajoute : “Mechi avait reçu cette connaissance et a développé la structure et l’enseignement de Kolaimni maintenant disponible en plusieurs langues. Elle m’a formée lors de rencontres étalées sur 15 ans. Maintenant je suis instructrice et présidente de l’association Kolaimni et je forme des praticiens et des instructeurs”.
La Lumière Universelle comme outil
Marie-Hélène Tourenne pratique chez elle et la plupart du temps également à distance : “Quand j’enseigne Kolaimni, c’est soit sur le Bassin d’Arcachon, soit dans le Loiret, soit aux Etats-Unis, ou encore là où un stage a été mis en place, parfois dans une salle, ou chez des particuliers, ou dans un studio de yoga. Je ne prends que des groupes de moins de douze stagiaires, c’est donc flexible. Je souhaite aller enseigner dans les pays anglophones et anglophiles, en Espagne et au Portugal. Nous sommes maintenant 4 instructrices actives en France, une à la Ciotat, une dans le Loiret, une en Bretagne et moi-même. Pour 2019, deux autres seront également formés, un en Alsace et une en Normandie”.
Elle précise sur l’enseignement de Kolaimni que tout le monde peut apprendre : “En ce qui concerne les soins, Kolaimni utilise la Lumière Universelle comme outil, un outil extrêmement puissant et fondamental, et donc toutes sortes de gens viennent vers nous, pour des raisons très variées. Il n’y a rien qui ne soit touché d’une manière ou d’une autre par cette énergie de la Vie”.
Lors d’une séance, si possible la personne est allongée, même quand le soin se fait à distance, elle reste habillée et ne sera touchée ni sur la peau ni sur les vêtements. La durée peut être très variable mais en général elle est d’une heure environ : “Si des protocoles spécifiques sont ajoutés au soin de base, tels qu’un soin émotionnel, un travail local, un soin contre la douleur, les soucis, la peur ou autre encore, cela peut durer plus longtemps”.
Kolaimni se spécialise dans le mieux-être en général et en particulier : “Toute ombre est affectée par la Lumière, la Lumière ne se spécialise pas, elle éclaire tout et tous. Néanmoins, chaque kolaimniste a ses protocoles préférés, même si nous les utilisons tous selon les besoins. Certains vont travailler davantage sur les animaux, d’autres sur eux-mêmes, sur leur famille et leurs amis, d’autres l’utilisent en complément de thérapies manuelles, chirurgicales ou chimiques et pharmaceutiques”.
Le programme des stages est disponible sur kolaimni.info.
3 QUESTIONS-EXPRESS
Les qualités de votre pratique?
“J’aime l’universalité de Kolaimni, sa précision, sa simplicité, sa puissance, sa pureté, et aussi son bon sens. J’aime le fait qu’il apporte autant à celui qui le donne qu’à celui qui le reçoit. J’aime le fait que c’est un don, pas une affaire d’argent. J’aime le fait que les stages sont peu onéreux afin que tout le monde puisse apprendre. J’aime le fait que travailler avec et dans la Lumière, cette réalité primordiale, nous ouvre à une autre dimension. Etant un personne pratique, j’aime ses résultats et son efficacité !”.
Comment gérez vous le stress ?
“Pour lutter contre le stress, je médite, je me promène dans la nature, je danse, je fais du vélo dans la forêt, je nage dans la mer, je respire à pleins poumons, je chante, je regarde un film drôle, et bien sûr, je me fais un Kolaimni ! Toutes ces choses sont de vraies thérapies qu’il ne faut pas négliger”.
Un petit message ?
“Nous utilisons tous des technologies que nous ne comprenons pas, à commencer par nos téléphones portables. Kolaimni n’est pas plus « magique » qu’un téléphone portable, c’est un processus qui utilise des phénomènes physiques, naturels, et qui stimule spontanément nos mécanismes d’auto guérison. C’est une technique universelle et il devrait y avoir AU MOINS un kolaimniste dans chaque famille. Alors, pourquoi pas vous ?”